Les Lyuñael

Description

Les Lyuñael sont des hybrides héritiques-animaux. Il y en a de cinq sortes : les hybrides mammifères (félins, canins, lupus, singes, éléphants, ours), les hybrides aviaires (oiseaux), les hybrides amphibiens, les hybrides reptiles (alligators, serpents, lézards, tortues) et les hybrides céphalopodes. Cette grande variété d’espèces compose autant de peuples avec leurs propres mœurs et cultures. On réfère néanmoins à l’ensemble de ces peuples avec le terme générique « Lyuñael », pour des raisons pratiques mais aussi diplomatiques. En effet, historiquement, les Lyuñael occupent la région du Liathänmar, qu’on surnomme parfois la « botte du continent » et qui est en réalité fragmentée en plusieurs régions habitées par différents peuples Lyuñael. A la suite de la guerre de XXXXX, ces régions se sont néanmoins organisées en un système politique central afin de défendre leurs intérêts à l’échelle mondiale. Le Liathänmar n’est donc pas seulement une zone géographique d’Aldune, mais aussi une confédération politique qui représente l’ensemble des peuples Lyuñael.

En dépit de leurs singularités, les différents peuples Lyuñael entretiennent un faisceau de mœurs et de croyances communes. Dans leur immense majorité, les Lyuñael se revendiquent pacifistes, et si l’histoire les a néanmoins amené à se militariser, ils n’emploient les armes qu’en dernier recours et favorisent le plus possible la diplomatie et les échanges commerciaux afin d’entretenir des rapports pacifiés avec les autres peuples d’Aldune. Ils prônent également un esprit de solidarité, si fort qu’aucun peuple Lyuñael ne s’est jamais opposé à un autre, et qu’aucune guerre n’a jamais éclaté au sein du Liathanmar en raison de l’intérêt commun de ses peuples à la paix. Animistes, ils considèrent que la nature et l’esprit ne font qu’un, que les arbres, les animaux et les êtres intelligents sont tous sensibles — certes différemment — et donc dignes de respect et de considération. Les notions d’équilibre, d’osmose et d’harmonie entre les êtres vivants et leur environnement sont donc des valeurs communes largement partagées par les Lyuñael. De même, leurs croyances sont principalement panthéistes, ils considèrent donc faire partie d’un cosmos, c’est-à-dire d’un tout organisé et harmonieux, dont tous les éléments sont interdépendants. Certaines figures mythologiques empruntées aux mythes héritiques des Précurseurs se retrouvent au cœur de leurs cultes, mais il s’agit le plus souvent de cultes totémiques axés sur des figures animales.

Il ne faut pas confondre les Lyuñael et les Scorsiangs. Ces derniers sont considérés par les Lyuñael comme des créatures errantes, barbares et sauvages. Des pirates sans foi ni loi, animés par le seul désir de détruire, de piller et de tuer. Ils n’entretiennent pas d’origines communes, et malgré leurs similitudes anatomiques et magiques, les Scorsiangs demeurent néanmoins des êtres mystérieux dont les origines sont intrinsèquement liées aux fluctuations magiques des îles dont ils sont originaires.

Systèmes politiques

Les Lyuñael sont des hybrides héritiques-animaux. Il y en a de cinq sortes : les hybrides mammifères (félins, canins, lupus, singes, éléphants, ours), les hybrides aviaires (oiseaux), les hybrides amphibiens, les hybrides reptiles (alligators, serpents, lézards, tortues) et les hybrides céphalopodes. Cette grande variété d’espèces compose autant de peuples avec leurs propres mœurs et cultures. On réfère néanmoins à l’ensemble de ces peuples avec le terme générique « Lyuñael », pour des raisons pratiques mais aussi diplomatiques. En effet, historiquement, les Lyuñael occupent la région du Liathänmar, qu’on surnomme parfois la « botte du continent » et qui est en réalité fragmentée en plusieurs régions habitées par différents peuples Lyuñael. A la suite de la guerre de XXXXX, ces régions se sont néanmoins organisées en un système politique central afin de défendre leurs intérêts à l’échelle mondiale. Le Liathänmar n’est donc pas seulement une zone géographique d’Aldune, mais aussi une confédération politique qui représente l’ensemble des peuples Lyuñael.

En dépit de leurs singularités, les différents peuples Lyuñael entretiennent un faisceau de mœurs et de croyances communes. Dans leur immense majorité, les Lyuñael se revendiquent pacifistes, et si l’histoire les a néanmoins amené à se militariser, ils n’emploient les armes qu’en dernier recours et favorisent le plus possible la diplomatie et les échanges commerciaux afin d’entretenir des rapports pacifiés avec les autres peuples d’Aldune. Ils prônent également un esprit de solidarité, si fort qu’aucun peuple Lyuñael ne s’est jamais opposé à un autre, et qu’aucune guerre n’a jamais éclaté au sein du Liathanmar en raison de l’intérêt commun de ses peuples à la paix. Animistes, ils considèrent que la nature et l’esprit ne font qu’un, que les arbres, les animaux et les êtres intelligents sont tous sensibles — certes différemment — et donc dignes de respect et de considération. Les notions d’équilibre, d’osmose et d’harmonie entre les êtres vivants et leur environnement sont donc des valeurs communes largement partagées par les Lyuñael. De même, leurs croyances sont principalement panthéistes, ils considèrent donc faire partie d’un cosmos, c’est-à-dire d’un tout organisé et harmonieux, dont tous les éléments sont interdépendants. Certaines figures mythologiques empruntées aux mythes héritiques des Précurseurs se retrouvent au cœur de leurs cultes, mais il s’agit le plus souvent de cultes totémiques axés sur des figures animales.

Il ne faut pas confondre les Lyuñael et les Scorsiangs. Ces derniers sont considérés par les Lyuñael comme des créatures errantes, barbares et sauvages. Des pirates sans foi ni loi, animés par le seul désir de détruire, de piller et de tuer. Ils n’entretiennent pas d’origines communes, et malgré leurs similitudes anatomiques et magiques, les Scorsiangs demeurent néanmoins des êtres mystérieux dont les origines sont intrinsèquement liées aux fluctuations magiques des îles dont ils sont originaires.

Résumé

Les Lyuñael sont des hybrides héritiques-animaux. Il y en a de cinq sortes : les hybrides mammifères (félins, canins, lupus, singes, éléphants, ours), les hybrides aviaires (oiseaux), les hybrides amphibiens, les hybrides reptiles (alligators, serpents, lézards, tortues) et les hybrides céphalopodes. Cette grande variété d’espèces compose autant de peuples avec leurs propres mœurs et cultures. On réfère néanmoins à l’ensemble de ces peuples avec le terme générique « Lyuñael », pour des raisons pratiques mais aussi diplomatiques. En effet, historiquement, les Lyuñael occupent la région du Liathänmar, qu’on surnomme parfois la « botte du continent » et qui est en réalité fragmentée en plusieurs régions habitées par différents peuples Lyuñael. A la suite de la guerre de XXXXX, ces régions se sont néanmoins organisées en un système politique central afin de défendre leurs intérêts à l’échelle mondiale. Le Liathänmar n’est donc pas seulement une zone géographique d’Aldune, mais aussi une confédération politique qui représente l’ensemble des peuples Lyuñael.

En dépit de leurs singularités, les différents peuples Lyuñael entretiennent un faisceau de mœurs et de croyances communes. Dans leur immense majorité, les Lyuñael se revendiquent pacifistes, et si l’histoire les a néanmoins amené à se militariser, ils n’emploient les armes qu’en dernier recours et favorisent le plus possible la diplomatie et les échanges commerciaux afin d’entretenir des rapports pacifiés avec les autres peuples d’Aldune. Ils prônent également un esprit de solidarité, si fort qu’aucun peuple Lyuñael ne s’est jamais opposé à un autre, et qu’aucune guerre n’a jamais éclaté au sein du Liathanmar en raison de l’intérêt commun de ses peuples à la paix. Animistes, ils considèrent que la nature et l’esprit ne font qu’un, que les arbres, les animaux et les êtres intelligents sont tous sensibles — certes différemment — et donc dignes de respect et de considération. Les notions d’équilibre, d’osmose et d’harmonie entre les êtres vivants et leur environnement sont donc des valeurs communes largement partagées par les Lyuñael. De même, leurs croyances sont principalement panthéistes, ils considèrent donc faire partie d’un cosmos, c’est-à-dire d’un tout organisé et harmonieux, dont tous les éléments sont interdépendants. Certaines figures mythologiques empruntées aux mythes héritiques des Précurseurs se retrouvent au cœur de leurs cultes, mais il s’agit le plus souvent de cultes totémiques axés sur des figures animales.

Il ne faut pas confondre les Lyuñael et les Scorsiangs. Ces derniers sont considérés par les Lyuñael comme des créatures errantes, barbares et sauvages. Des pirates sans foi ni loi, animés par le seul désir de détruire, de piller et de tuer. Ils n’entretiennent pas d’origines communes, et malgré leurs similitudes anatomiques et magiques, les Scorsiangs demeurent néanmoins des êtres mystérieux dont les origines sont intrinsèquement liées aux fluctuations magiques des îles dont ils sont originaires.